Aide aux victimes des cyclones Batsirai et Emnati

Aide aux victimes des cyclones Batsirai et Emnati

En traversant Madagascar, les cyclones Batsirai et Emnati ont occasionné d’importants dégâts sur leur passage. Pour venir en aide aux populations sinistrées, AMADEA a décidé de concentrer son action sur 2 centres d’accueil avec lesquels l’association a des relations historiques, à Mananjary et Nosy Varika. Faire un don en ligne (cliquer sur le bouton) Nos formulaires de don (cliquer sur le bouton) AMADEA Après le passage du cyclone à Mananjary Des cyclones destructeurs …  Mananjary et Nosy Varika font partie des localités  les plus touchées par le passage des deux cyclones. Elles partagent une histoire particulière avec Amadea car des jumeaux abandonnés et des familles parmi les plus pauvres y sont accueillis.Patrick Johannes, notre chef de mission à Madagascar, a pu entrer en contact avec deux « nénennes » (nourrices) du centre des Orchidées. Elles lui ont raconté leurs péripéties et transmis un message fort : « Nous n’avons jamais vécu un cyclone d’une telle puissance. Ne nous laissez pas tomber car nous avons tout perdu. » Les sites d’intervention d’Amadea épargnés … Alors qu’ils s’attendaient à passer une nuit mouvementée, les deux centres d’accueil d’AMADEA, à Mahambo (sur la côte Est) et Antsirabe (sur les Hauts Plateaux), ont été épargnés lors du passage du 1er cyclone (des averses de pluie et des vents de 60 et 80 km/h « seulement »).  Comment aider les sinistrés ? Amadea lance une campagne de dons sur le site HelloAsso pour aider les sinistrés des cyclones Batsirai et Emnati. Cette campagne concerne plus particulièrement ses partenaires historiques comme les anciennes nourrices, les familles, le CATJA de Mananjary (« centre d’accueil des jumeaux abandonnés » mais pas que …) et le centre...
Certification «Bio» pour le physalis séché et la coopérative Tsinjo

Certification «Bio» pour le physalis séché et la coopérative Tsinjo

Grande nouvelle attendue depuis plusieurs années : la coopérative Tsinjo ainsi que sa production de physalis (frais et séchés) viennent d’obtenir le label «bio». Il leur a été délivré par l’organisme international «ECOCERT» dont les certifications garantissent et valorisent les meilleures pratiques sociales et environnementales. Conditionnement 100 g. Conditionnement en recto verso Sachets de 100g et 50g Conditionnement 50 g. Pour obtenir la certification ECOCERT avec le VMM, un réseau des sécheurs créé par le Centre écologique Albert Schweitzer (CEAS), il a fallu d’abord identifier les terrains n’ayant pas reçu de produits chimiques depuis au moins 3 ans puis réunir et soumettre un grand nombre de données à l’examen des agents certificateurs, ce qui a pris plusieurs mois. Pour rappel, 184 producteurs des groupements VTMMA sont concernés par cet agrément. Présentation des activités de la coopérative Tsinjo Satisfaction et Félicitations … des réactions unanimes ! «C’est avec une fierté certaine que je vous transfère cette annonce. Cela ne fut pas facile, mais grâce à la ténacité de tous ceux qui y ont contribué, le physalis et la sécherie (pour le séchage du physalis) ont obtenu leur certification Bio. Nous avons pu l’obtenir grâce à l’implication de tous : des techniciens Hasmine, Seth, Nambinina pour l’identification des paysans et des parcelles à certifier, du Dr. Soa pour la partie hygiène (et pas que …) et de Christianna pour les échanges avec ECOCERT. Il a fallu beaucoup de réunions, de déplacements sur les sites, d’échanges … Merci également au CEAS pour sa contribution financière dans la prise en charge d’une partie des frais». Patrick Johannes, chef de mission AMADEA «SUPER ! BRAVO à...
Des écoliers vosgiens sensibilisés a la solidarité internationale

Des écoliers vosgiens sensibilisés a la solidarité internationale

Parmi les missions confiées aux volontaires du Service Civique accueillis par Amadea , il y a des actions de sensibilisation a la solidarité internationale auprès du jeune public, et singulièrement, des écoliers du cycle primaire. En service civique depuis le 1er novembre dernier, Lucie Fornage est domiciliée dans les Vosges. C’est tout naturellement qu’elle a proposé à son ancienne institutrice de l’école Emile Durkheim, à Epinal, d’organiser une série d’ateliers sur ce thème. Deux classes de CM1 et CM2 étaient volontaires. L’opération s’est déroulée durant les 3 dernières semaines de janvier, à raison d’un atelier chaque vendredi.En raison de l’épidémie de Covid-19, plusieurs élèves manquaient à l’appel, mais pour chaque séance, une vingtaine d’entre eux étaient bien là. Des thèmes précis à chaque séance Dans la préparation de ses interventions, Lucie avait sélectionné 3 thèmes à aborder successivement.* 1er atelier : la découverte de Madagascar sous différents aspects : climat, transport, biodiversité, développement durable en y ajoutant des éléments de comparaison avec la France.* 2e atelier : l’éducation à Madagascar avec le taux de scolarisation et d’achèvement des études ; les causes d’abandon en cours de route. Pour illustrer son propos, elle leur a montré un extrait du documentaire d’Emmanuel Guionet, « Les chemins de l’école d’Olivier et Francklyn« .* 3e atelier : les actions d’AMADEA pour la protection de l’enfance et le développement rural avec, en illustration, des extraits des vidéos disponibles sur notre chaîne Youtube. Sur une grande feuille de papier, les mots clés retenus pas les enfants A chaque intervention, en plus des projections de photos et de vidéos, Lucie illustrait le thème du jour avec différents jeux....
A Besançon, un marché solidaire en demi-teinte

A Besançon, un marché solidaire en demi-teinte

Bien, mais peu mieux faire ! Le traditionnel marché solidaire de Noël, organisé du 8 au 19 décembre à Besançon a souffert de la situation sanitaire actuelle. Moins de visiteurs … Plus de contraintes … Mais une bonne ambiance et quelques promesses pour l’avenir. L’an passé, le marché solidaire de Noël organisé par RECIDEV n’avait pu se tenir «in situ». Il avait été remplacé par une boutique virtuelle en ligne dans laquelle les associations habituellement participantes avaient pu proposer quelques idées de cadeaux solidaires à commander puis à venir retirer en un lieu donné. Cette année, pour la quarantaine d’associations participantes dont AMADEA, retour à la manifestation habituelle avec toutefois quelques aménagements et contraintes. Obligation pour les visiteurs comme pour les exposants, de présenter un pass sanitaire et de respecter en permanence les mesures de distanciation.Annulation du Repas du monde organisé à tour de rôle par certaines des associations participantes. Ce repas solidaire faisait à la fois l’originalité de la manifestation … et permettait de remplir les caisses ! De ce fait, les visiteurs ont été moins nombreux qu’espérés, mais heureusement, toujours très intéressés par ce qui était proposé sur les stands. Une demande de produits naturels à satisfaire Pour Amadea qui a mobilisé 27 bénévoles durant 10 jours, le bilan est positif et montre l’attachement des habituels visiteurs du salon à nos activités. Beaucoup de questions ont été posées sur la situation à Madagascar, notamment au regard de la famine qui sévit dans le sud de l’île. Si les ventes d’artisanat vont permettre au comité de franche Comté d’envoyer un «joli chèque» à la fédération nationale, ce marché...
Des jeunes paysans en formation pour préparer l’avenir

Des jeunes paysans en formation pour préparer l’avenir

Depuis plusieurs mois, trente jeunes agriculteurs et éleveurs des 2 groupements VTMMA Est et Ouest ont entamé un cycle de formation sur 2 ans. C’est parmi ces hommes et ces femmes qu’AMADEA espère trouver les «leaders de demain» ! Ce projet de formation est le fruit d’une réflexion initiée au sein d’AMADEA pour assurer la relève des techniciens qui encadrent actuellement les groupements paysans. L’objectif est ainsi de pérenniser nos actions sur le long terme. Pour cela, dans chaque groupement VTMMA, 15 jeunes (hommes et femmes, de 19 à 35 ans) ont été sélectionnés. L’objectif est de leur donner les bases nécessaires pour intervenir dans les différents secteurs de l’économie rurale. Un cursus de formation adapté Un programme de formation sur 2 ans, adapté à leurs besoins spécifiques, a été établi. La première année, à raison d’une semaine par mois, les stagiaires vont travailler sur 10 thèmes concernant les différentes activités agricoles soutenues par AMADEA : pisciculture, sériciculture, riziculture, aviculture, pépinières de fruits et légumes et même développement personnel, hygiène et nutrition. Dans le même temps, les stagiaires doivent préparer collectivement des projets de développement pour leurs groupements. Les 2 dernières semaines seront consacrées à la formalisation de ces projets. La seconde année, ils mettront en œuvre les projets de développement qu’ils auront étudiés la première année, dans leurs groupements respectifs. Durant toute la formation, un système de tutorat permet aux jeunes paysans d’être accompagnés par les techniciens d’AMADEA. En fonction des projets, une aide à l’équipement sera également apportée lors de leurs réalisations. Découverte des activités génératrices de revenus Pour acquérir des compétences dans tous les domaines de...